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Smals recherche informaticiens bilingues

Date de publication: 25 mars 2019
Catégorie:

IT

Parmi les secteurs les plus actifs en termes de recrutement, on retrouve également le secteur IT au sein duquel certaines entreprises peinent à trouver des collaborateurs. C’est le cas de la société Smals, active dans les prestations de services informatiques pour les institutions de la sécurité sociale et des soins de santé. L’entreprise embauche en moyenne 150 à 160 personnes chaque année et compte aujourd’hui 1.870 collaborateurs dont 1.400 informaticiens. Parmi les profils recherchés figurent bon nombre de métiers directement liés à l’informatique: experts en réseau, analystes, développeurs, product managers ou managers IT. Et force est de constater que ces profils se font parfois rares. «L’an dernier, nous avons reçu 2.102 offres d’emploi de la part de Smals et c’était souvent compliqué de trouver des candidats qui correspondaient aux profils recherchés», affirme Grégor Chapelle, directeur général d’Actiris. Cette difficulté, Lydia Oomen, responsable du recrutement chez Smals, l’explique diversement: «On appartient à un secteur d’activité où la demande est croissante mais la main-d’œuvre insuffisante. Il y a une très forte concurrence entre les entreprises parce qu’il n’y a pas suffisamment d’informaticiens formés. Or notre société fonctionne 24h sur 24, 7 jours sur 7. Nous avons donc besoin non seulement des bonnes personnes, mais aussi en quantité importante pour assurer nos projets au quotidien.»

Comme dans d’autres secteurs, le bilinguisme semble aussi souvent faire défaut aux candidats postulants. «Nous travaillons pour le gouvernement. L’ensemble de nos collaborateurs sont donc amenés à devoir travailler en français et néerlandais. Les candidats qui maîtrisent ces 2 langues ont un profil idéal pour notre entreprise. Mais en pratique, c’est loin d’être évident de trouver des gens à la fois bilingues et correctement formés. Après, le bilinguisme sera avant tout recherché pour certains postes comme les analystes ou les product managers», explique Lydia Oomen. Devant cette difficulté, l’entreprise mise d’abord sur les compétences informatiques des candidats et leur offre des formations en langues par la suite.

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