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« Construire de vraies voitures est resté un jeu pour moi ! »

Rédigé par: Philippe Van Lil
Date de publication: 15 févr. 2023
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Cédric Mahieu a rejoint Audi Brussels dès la fin de ses études secondaires d'électricien-automaticien, en 2017. Depuis lors, il occupe une fonction de technicien au sein du département de tôlerie sur le site forestois du constructeur allemand. Une expérience dont il se félicite.

Cedric Mahieu - Audi

Cédric Mahieu, technicien au sein du département de tôlerie

Comme l'explique Cédric, la programmation est la partie de ses études qu'il a toujours adorée. Sur ce plan là, il est bien servi chez Audi Brussels. S’il a choisi de rejoindre ce constructeur, c’est « non seulement pour le prestige de la marque, mais aussi parce que l'assemblage automobile est une activité qui recourt à des technologies de pointe constamment renouvelées. La possibilité d'évoluer sur le plan technique a joué un rôle majeur dans ma décision de postuler ici. »

Audi Brussels ne lésine d’ailleurs pas sur les formations, d'autant que l'outil de production qu’est la chaîne d'assemblage est devenu d'une complexité impressionnante, avec le recours à la robotique et aux technologies laser. Tout nouveau technicien entame son parcours par une septantaine de jours de formation. Cela ne s'arrête pas là : « Depuis mon entrée en fonction, j'ai pu bénéficier d'une bonne cinquantaine de formations. Cet apprentissage continu est passionnant. À titre personnel, j'ai aussi vécu des changements impressionnants quand on est passé de la production du modèle A1 au modèle e-tron. »

Un job gratifiant

Le département de tôlerie de l’entreprise fabrique divers composants - portes, capots, hayons, etc. - et les assemble par divers types d’assemblage tels que colles et soudures. En tant que technicien de maintenance, Cédric intervient en support aux techniciens d'installation de première ligne : « C’est par exemple le cas lorsqu'ils rencontrent des problèmes électriques pour résoudre une panne, tant au niveau du hardware que du software. L’origine du problème est parfois liée à un capteur, mais on peut souvent mieux identifier sa source au niveau de la programmation. »

Finalement, notre interlocuteur estime que « c’est vraiment gratifiant de pouvoir résoudre une panne qu'on n'avait jamais rencontrée auparavant ou de modifier un élément de programmation pour améliorer un processus et éviter des pannes ultérieures. Devoir résoudre un problème permet bien sûr aussi d'aller encore plus loin dans l'apprentissage. »

Le site d'Audi Brussels emploie aujourd'hui quelque 3.600 personnes. Pour une entreprise d'une telle taille, « on ne manque jamais de postes à pourvoir dans nos différents départements de production », se réjouit-il. À titre personnel, il se félicite aussi de l'ambiance de grande famille qui règne dans l’entreprise, sans oublier l’avantage d’une rémunération attractive. Fana de programmation au point de la comparer à un jeu, Cédric conclut : « Pour moi, venir travailler ici, ça se résume en fait à venir jouer. Et être payé pour cela, c’est vraiment génial ! »

Cédric Mahieu - Audi

« Pour moi, venir travailler ici, ça se résume en fait à venir jouer. Et être payé pour cela, c’est vraiment génial ! » - Cédric Mathieu