Passer au contenu principal

«Il fait bon vivre à la CCB»

Date de publication: 12 oct. 2020

Acteur carrier majeur du Tournaisis, la Compagnie des Ciments Belge (CCB) a fait face à la crise sanitaire avec dynamisme, responsabilité et solidarité. Place maintenant à une autre préoccupation : recruter une soixantaine de collaborateurs dans les prochaines semaines.

Valérie Bauffe

Valérie Bauffe, Responsable recrutement, formations et gestion des compétences.

Créée en 1906, la Compagnie des Ciments Belge (CCB), ancienne entreprise familiale, a été rachetée en 2016 par l’actionnaire Cementir Holding. Elle propose trois services spécialisés dans l’exploitation des  carrières: la production de ciment, de granulat et de béton prêt à l’emploi. «Ce sont trois métiers assez complémentaires», explique Valérie Bauffe, Responsable recrutement, formations et gestion des compétences à la CCB. Au total, la société comprend 15 centrales à béton, une cimenterie et deux cribleries.

Avec un peu moins de 600 collaborateurs - incluant la SCT (Société des Carrières du Tournaisis), la CCB s’impose comme un acteur majeur de l’industrie lourde. Au fil des décennies, la société s’est développée et a fait ses preuves. Aujourd’hui, elle a déjà prévu de pallier le manque de matière première: «la future carrière est déjà prête. Le projet est ficelé. On attend plus que le feu vert.» On le voit, ce n’est pas l’ancienneté de la CCB qui l’empêche de faire montre de réactivité, de se tourner résolument vers l’avenir et d’embrasser les nouveaux défis auxquels elle va devoir faire face.

Cette résilience a d’ailleurs fait la force de l’entreprise durant la crise sanitaire. Face à la situation inédite, et comme pour la plupart des sociétés, la CCB a été contrainte de réduire fortement ses activités: les centrales à béton ont été fermées et le four de la cimenterie est resté froid pendant une semaine complète. Une partie du personnel a été placée en télétravail lorsque la fonction le permettait. «Nous avons géré la crise comme nous avons pu, en fonction des informations livrées au jour le jour. C’est la motivation et la solidarité de nos travailleurs qui ont maintenu à flot la société. Aujourd’hui, nous sommes de retour sur le site et nous continuons à vivre presque normalement tout en respectant les mesures sanitaires.»

«Nous voulons rendre notre image sexy »

Actuellement, la CCB est à la recherche de talents pour renforcer ses équipes. Pour ce faire, elle participera au salon Talentum Hainaut, le 15 octobre prochain. «Un salon local sur Tournai. Nous ne pouvons qu’y participer», affirme la responsable recrutement. «Nous faisons partie du tissu économique et social du Tournaisis, c’est inconcevable de ne pas participer à cet événement. Nous voulons être présents comme acteur à l’emploi. Il y a une fierté d’appartenance très forte au sein de notre société.»

Plus encore, la CCB entend donner de la visibilité à sa marque employeur. Elle veut persuader ses futurs candidats. «Le secteur dans lequel on évolue peut ne pas s’avérer sexy: le monde carrier peut paraître vieillot. Le salon, c’est l’occasion de moderniser notre image en expliquant qui nous sommes, ce que nous faisons et les possibilités de développement au sein de nos sites de production. Et puis il faut savoir que nous proposons des fonctions pour une grande variété de profils et des possibilités d’évolutions certaines et réelles.»

Comptable, magasinier cariste, conducteur d’engins, stagiaire IT, contrôleur de gestion, manager du service fiabilité, coordinateur qualité, etc. Nombreux postes sont vacants à la CCB et «c’est quelque chose de positif, cela montre que nous vivons, nous grandissons et que nous avons besoin de nouveaux talents», conclut Valérie Bauffe.

Intéressé(e) par un job à la CCB? Consultez ourjobs.cvwarehouse.com ou RDV Jeudi 15 octobre de 13 à 18h sur www.talentum.jobs/fr/hainaut/.

J.D.

CCB

Durant la crise sanitaire, l’entreprise a su faire preuve de résilience. Face à la situation inédite, et comme pour la plupart des sociétés, la CCB a été contrainte de réduire fortement ses activités. Une partie du personnel a été placée en télétravail lorsque la fonction le permettait. « Nous avons géré la crise comme nous avons pu, en fonction des informations livrées au jour le jour. C’est la motivation et la solidarité de nos travailleurs qui ont maintenu à flot la société.» explique Valérie Bauffe.

>> S'inscrire gratuitement