« Le quatrième pilier ? Un choix nécessaire pour construire une pension complémentaire »
Chez Vivium, on a choisi de se spécialiser dans le quatrième pilier, un choix stratégique pour lequel le secteur du courtage a un rôle important à jouer.
Pour s’assurer une pension digne de ce nom, le Belge a plusieurs possibilités. Il y a notamment les fameux 4 piliers. Pour rappel, le premier pilier concerne la pension légale payée par l’Etat. Le second est lié aux assurances-groupes des employeurs et à la PLCI des indépendants tandis que le troisième concerne l’épargne pension et l’épargne à long terme que le client peut se créer au fil du temps, avec un avantage fiscal. Puis, arrive le quatrième pilier qui n’est pas lié à un avantage fiscal et qui concerne l’épargne, les placements et les investissements que l’on peut faire, de nouveau en prévision d’une retraite à l’abri du besoin.
« Dans ce quatrième pilier, les courtiers sont en concurrence avec les banques qui proposent le même genre de produits », explique Jeroen Spinoy, business development Life et Assurance-groupe chez Vivium, une marque du groupe P&V (plus d’un million de clients). « Sans compter qu’il y a pas mal de pression du monde politique pour moins stimuler les autres piliers. Nous avons donc fait le choix stratégique, depuis un peu plus d’un an, de nous développer dans le quatrième pilier », ajoute-t-il.
Dans cette stratégie, Vivium inclut évidemment le monde du courtage. « Le quatrième pilier est vraiment quelque chose de nécessaire pour construire une pension complémentaire. En ça, il est une belle opportunité pour les courtiers qui sont nos partenaires de longue date sur les autres piliers. C’est, quelque part, une continuité de leur business model à travers une nouvelle gamme de produits », poursuit Véronique D’haese, directrice commerciale de Vivium. « Les clients ont besoin d’une pension complémentaire et le courtier a des solutions pour ses clients en vue de construire cette pension mais aussi de protéger la famille contre les risques (maladie, décès, catastrophe financière…) », note-t-elle.
Apport de valeur ajoutée
Chez Vivium, cette offre sur le quatrième pilier prend la forme d’une combinaison (combi) entre des produits de la branche 21 (avec des taux garantis et une participation aux bénéfices) et de la branche 23 (avec des fonds dont le rendement est lié à des fonds qui évoluent en fonction du marché). La compagnie lance également un nouveau produit, Vivium Selection, un contrat d’assurance sans garantie de capital ni de rendement dont le rendement est lié à un fonds d’assurance interne branche 23 personnalisé. Il s’adresse plutôt aux investisseurs qui cherchent un rendement élevé et qui sont prêts à prendre le risque correspondant.
Ajoutons à cela le rôle que Vivium peut jouer aux côtés des courtiers en matière de digitalisation. « Notre portail clients, My Vivium, permet aux clients de consulter ses contrats en ligne mais aussi de voir la valeur de son contrat, ce qui est aussi un « plus » pour le courtier qui, par son conseil, va pouvoir apporter de la valeur ajoutée », poursuit Jeroen Spinoy. « Via nos account managers et nos experts, nous offrons un encadrement pour les courtiers pour les soutenir dans le lancement de la gamme et par rapport à certains clients qui ont un haut potentiel d’investissement », conclut-il.
Jeroen Spinoy, business development Life et Assurance-groupe chez Vivium et Véronique D’haese, directrice commerciale de Vivium