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4 bonnes raisons de commettre des erreurs

Date de publication: 24 nov. 2020

Se tromper peut arriver à tout le monde. Lorsque l'on parvient à faire abstraction des effets négatifs qu'une faute peut engendrer, elle devient un challenge à surmonter qui booste la productivité. Voici 4 bonnes raisons de faire des erreurs.

erreur travail

L’erreur est humaine. Cela peut arriver à chacun d’entre nous. On a souvent peur de la réaction des autres : honte, angoisse, critiques et reproches qui s’ensuivent ne sont jamais des sensations agréables. Pourtant, si vous parvenez à faire abstraction de toutes ces conséquences, l’erreur devient un challenge à surmonter qui booste votre productivité et votre bonheur au travail.

Voici 4 bonnes raisons de faire des fautes.

1) Les fautes sont inévitables

Elles le sont parce que nous vivons et travaillons dans un monde complexe, en perpétuelle évolution. Il importe donc d’être aussi soi-même en mouvement, en plein action et réaction. Les fautes sont donc inévitables, elles peuvent venir de toute part. Elles peuvent même survenir là où on ne les attend pas (des détails qui a priori sont sans importance).

2) Se tromper n’est pas agréable, et alors ?

Les conséquences d’une faute ne sont jamais un moment agréable à vivre. La honte, le stress, l’angoisse sont des émotions négatives qu’il faut contrôler au plus vite. Ne vous laissez pas abattre et allez de l’avant. C’est en échouant, en faisant des fautes que l’on apprend et qu’on s’améliore. C’est bien là le paradoxe de l’erreur.

3) Les fautes sont relatives

En plus d’être inévitables, les fautes sont relatives. Il s’agit peut-être, pour vous, d’un échec, car vous n’avez pas réussi à nourrir vos espérances, à atteindre les objectifs que vous vous étiez fixés. Mais cela ne correspond pas forcément à une erreur selon le point de vue de votre collègue ou du contexte social dans lequel vous êtes. Soyez indulgent avec vous-même.

4) Reconnaître ses erreurs

Faire des erreurs ouvertement de nos jours est indispensable. Les occulter serait une erreur… C’est en partageant ses fautes et ses échecs avec les autres que l’on apprend et que l’on innove. Il faut changer la perception de nos fautes. En enlevant la frustration qu’elles peuvent engendrer, tout en modifiant l’image péjorative qu’elles ont dans notre société, le plaisir au travail revient. La productivité aussi.

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