Passer au contenu principal

5 habitudes qui vous empêchent d’être heureux au travail

Date de publication: 8 févr. 2018

Cela fait quelque temps que vous allez travailler avec des pieds de plombs. Vous ne savez pas très bien pourquoi mais vous manquez de motivation. Pire, vous commencez à  voir tout en noir. Les déprimes les plus difficiles à  surmonter sont précisément celles qui n’ont pas de source clairement identifiable. Car comment résoudre un problème dont on ignore la cause ? Votre désarroi résulte peut-être de quelques mauvaises habitudes, installées au fil des années et qui minent insidieusement votre moral. Nous en avons détecté 5. Si vous vous reconnaissez dans l’une d’elles, vous aurez peut-être mis le doigt sur la source de votre coup de blues.

happyjob

1. Participer aux ragots

Difficile de tourner le dos à  la petite bande de collègues aglutinés qui ont l’air de parler d’un scoop croustillant. D’essayer de trouver les raisons motivant les décisions ou les actions de quelqu’un, de découvrir l’agenda caché de votre boss ou de votre collègue.

Malheureusement, la personne qui participe aux bruits de couloir casse aussi du sucre sur votre dos. Soudain, les ragots ne sont plus si ragoûtants que ça. La prochaine fois que vous êtes tenté(e) de parler d’une autre personne, demandez-vous si vous raconteriez cela si vous étiez confronté(e) à  cette personne.

La prochaine fois que quelqu’un commence à  critiquer quelqu’un d’autre, prenez congé et éloignez-vous. Ne vous préoccupez pas de perdre le respect d’une langue de vipère qui n’a de toute façon de respect pour personne.

2. Dire oui alors que vous voulez dire non

Il peut être très difficile de refuser de rendre service à  un collègue, à  un client ou à  un ami. Mais nous avons finalement tendance à  exagérer les répercussions d’un refus. La plupart des gens comprendront vos raisons. Et même s’ils ne les comprennent pas, devriez-vous vous en faire pour autant ?

Quand vous dites non, vous vous sentez mal un petit moment. En revanche, quand vous acceptez quelque chose que vous vouliez refuser, vous pouvez vous sentir mal longtemps, du moins aussi longtemps que cela vous prendra pour effectuer la tâche dont vous n’aviez pas envie de vous occuper.

3. Être en retard

Comme tout le monde, vous êtes occupé(e). Vous êtes débordé(e). Vous êtes constamment à  la bourre. Du coup, vous êtes sous pression. (Les gens vous en veulent aussi. Quand vous êtes en retard, les autres se disent à  juste titre que vous estimez votre temps plus précieux que le leur.) Même si vous pensez ne rien pouvoir y faire, être en retard est un choix. Vous vous permettez d’être en retard.

Demain, commencez votre journée un peu plus tôt (ça ne vous tuera pas). Vous serez nettement moins stressé(e) et, par conséquent, vous y verrez beaucoup plus clair, vous serez plus créatif(/ve), plus décidé(e) et plus investi(e), tout simplement.

4. Vous intégrer à  tout prix

Bien que des industries entières fondent leur business sur le principe opposé, personne ne vous aime en vertu de ce que vous portez, de la voiture que vous conduisez, de la maison que vous habitez. Personne ne vous aime pour votre titre. Tout ça n’est que matériel. Les gens peuvent en réalité aimer ce que vous possédez sans vous aimer vous. L’inverse est vrai aussi.

Restez donc simplement vous-mêmes et cessez de vouloir vous intégrer à  tout prix en multipliant les signes extérieurs d’appartenance.

5. Ignorer vos parents

Tout comme personne ne confesse sur son lit de mort « J’aurais vraiment aimé passer plus de temps au travail », personne qui a perdu l’un de ses parents ne déclare « Je suis triste, mais bon, je pense vraiment avoir passé assez de temps avec lui. » Tout le monde veut passer plus de temps avec sa famille… quand il est trop tard.

Vos parents vous connaissent mieux que personne, et, pourtant, ils vous aiment. Appelez-les. Vous leur manquez. Et, vous ne vous en rendez peut-être pas compte, mais ils vous manquent aussi.  

 

>> Découvrez nos offres de travail sur notre site web 
 

Source : Inc.com