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5 métiers pour changer le monde

De nos jours, la crise sanitaire a profondément bouleversé notre manière de travailler. Elle a montré combien des métiers, innovants ou non, étaient plus que jamais indispensables à notre société, tout en remettant, au goût du jour, d’autres qui tombaient dans l’oubli. Voici 5 métiers qui peuvent encore faire la différence.

métier

#1 Informateur/Informatrice social(-e)

L’informateur social accueille et informe des publics variés (particuliers, organismes, entreprises, etc.) pour toute question administrative ou juridique. Il dispose de connaissances générales et spécialisées au sujet de la santé, du logement, de la retraite, de la famille, etc.

Il informe de manière individuelle ou collective. Il conseille et accompagne les demandeurs dans leurs démarches administratives et dans la recherche d’interlocuteurs adéquats. Il peut, par exemple, aider à la prise de rendez-vous avec des contacts extérieurs. Selon les besoins, il peut également rédiger le courrier ou compléter les documents administratifs de ses consultants (déclarations d’impôts, documents de la sécurité sociale, etc.).

Il est possible de se former à ce métier via l’enseignement supérieur ou de profession sociale.

#2 Infirmier/Infirmière

Tous les métiers de soins de santé se sont plus que jamais révélés essentiels en pleine crise sanitaire. Et pourtant le secteur souffre encore d’une pénurie de mains d’œuvre...

Au-delà des spécialisations, un(-e) infirmier(-e) en soins généraux s'occupe de garantir la prise en charge du patient et de son bien-être, tant sur le plan physique que psychique et social. Son travail s’effectue toujours en étroite collaboration avec le médecin, qu’il assiste notamment en prenant les paramètres (tension, température, etc.) du patient et en tenant à jour son dossier médical, de façon à assurer le suivi de son état de santé.

Pour ce métier, des formations continues et spécialisations sont organisées dans les hautes-écoles, les universités, les établissements de promotion sociale et les organisations professionnelles.

#3 Consultant(-e) en RSE

La durabilité, c’est la grande tendance du moment, et depuis plusieurs années déjà. Et les entreprises n’en restent pas indifférentes, au contraire, elles y sont sensibles et veulent sensibiliser. Quand on parle de RSE on parle de Responsabilité Sociétale des Entreprises.

L’objectif du/de la consultant(e) en développement durable et RSE est d’aider les entreprises à impacter positivement la société sur le plan social, économique et environnemental. L’idée est d’accompagner l’évolution des comportements afin de promouvoir les actions éthiques. La diversité, l’égalité des chances, l’écologie, etc. sont autant de sujets qui touchent de près ou de loin la RSE.

Il existe des formations en développement durable pour les entreprises, dont le projet GreenSkills, labellisé et soutenu par le gouvernement wallon. Dans cette même optique, on retrouve également des professions comme : conseiller en énergies renouvelables, écologiste, éco-conseiller, consultant en environnement, etc.

#4 Premier ministre

Il faut être pugnace pour faire de la politique et gravir les échelons. Mais la situation de crise actuelle a plus que jamais démontré combien ce métier était primordial dans la bonne gestion du pays. Si vous voulez découvrir en détails quelles sont les tâches d’Alexander de Croo, consultez notre article en cliquant ici.

Si vous voulez suivre le même parcours que l’ex-président de l’Open-VLD, sachez que De Croo a toujours eu la fibre entrepreneuriale. Il a fait des études d’ingénieur commercial à la VUB. Sinon, une formation supérieure en relations internationales, en sciences politiques ou en droit peut être idéale pour se tourner vers la politique à un moment de votre carrière.

#5 Ingénieur en IA

La digitalisation a été dopée par la crise sanitaire et a engendré une demande de plus en plus forte dans le secteur de l’IT et de l’IA, notamment.

L’ingénieur en IA est la personne chargée de mener des recherches en vue de créer des ordinateurs ayant une forme de raisonnement et d'intelligence semblable à celle de l'être humain. Pour ce faire, elle étudie et analyse le fonctionnement du cerveau humain et conçoit des systèmes et des circuits dont les modes de fonctionnement et d'apprentissage sont les plus près de ceux du cerveau humain que de ceux des machines.

L’ingénieur s'efforce de produire des systèmes performants qui permettent de capter et décoder des données non déchiffrables pour les autres systèmes et de traiter les données recueillies le plus efficacement possible.

Une formation supérieure de type long (master) est nécessaire pour accéder à la profession.

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