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Après la crise sanitaire, Ethias tire des leçons salvatrices

Rédigé par: Sarah Poucet
Date de publication: 29 mars 2021
Catégorie:

Ethias Rives Ardentes

Cette période de crise a permis de tester à l’extrême le télétravail et la flexibilité. Tout en s’adaptant, l’assureur mesure les limites de ce modèle mais a aussi créé des solutions pour l’encadrer.

Comme la plupart des entreprises belges, Ethias a été bouleversé par la pandémie. Si depuis toujours, l’assureur adapte sa façon de travailler - la société permet des horaires flexibles, travaille sur l’empowerment des équipes, le déploiement du télétravail - la réalité était bien loin d’un 100% homeworking. Alors qu’on fête l’anniversaire du confinement, Julien Balistreri, Chief People et Organization Officer, tire les leçons de cette période particulière et envisage le modèle de demain.

 

165 engagements en 2020

En plus d’avoir accéléré la transformation digitale, la crise a prouvé la capacité de résilience de l’entreprise. Ethias a su maintenir sa productivité, répondre aux besoins de ses clients et délivrer les projets dans les temps. Les équipes sont restées tout à fait engagées. Plus spécifiquement, le département HR a poursuivi son activité avec 165 engagements en 2020. Les processus d’onboarding, d’engagement et de formation ont été réadaptés avec succès pour ainsi accueillir de nouveaux collaborateurs tout aussi préparés et efficaces qu’en temps normal.

La pandémie a également permis de tester les limites des NWOW. Si le télétravail est un atout, il est loin d’être idéal à temps plein. Ce système pose notamment la question de la socialisation, élément central du travail en équipe. Ethias est particulièrement attentive aux limites du télétravail au niveau de la cohésion des équipes, de la créativité. « Le lieu de travail reste un lieu important Cette période de crise a permis de tester à l’extrême le télétravail et la flexibilité. Tout en s’adaptant, l’assureur mesure les limites de ce modèle mais a aussi créé des solutions pour l’encadrer.

Comme la plupart des entreprises belges, Ethias a été bouleversé par la pandémie. Si depuis toujours, l’assureur adapte sa façon de travailler - la société permet des horaires flexibles, travaille sur l’empowerment des équipes, le déploiement du télétravail - la réalité était bien loin d’un 100% homeworking. Alors qu’on fête l’anniversaire du confinement, Julien Balistreri, Chief People et Organization Officer, tire les leçons de cette période particulière et envisage le modèle de demain.

En plus d’avoir accéléré la transformation digitale, la crise a prouvé la capacité de résilience de l’entreprise. Ethias a su maintenir sa productivité, répondre aux besoins de ses clients et délivrer les projets dans les temps. Les équipes sont restées tout à fait engagées. Plus spécifiquement, le département HR a poursuivi son activité avec 165 engagements en 2020. Les processus d’onboarding, d’engagement et de formation ont été réadaptés avec succès pour ainsi accueillir de nouveaux collaborateurs tout aussi préparés et efficaces qu’en temps normal.

La pandémie a également permis de tester les limites des NWOW. Si le télétravail est un atout, il est loin d’être idéal à temps plein. Ce système pose notamment la question de la socialisation, élément central du travail en équipe. Ethias est particulièrement attentive aux limites du télétravail au niveau de la cohésion des équipes, de la créativité. « Le lieu de travail reste un lieu important pour s’épanouir. Il est donc important de maintenir des moments où les équipes se rencontrent, où tous les membres sont présents. » souligne Julien Balistreri. A l’avenir, Ethias souhaite propose un modèle de travail avec 50% de homeworking. Une proposition flexible que chacun sera libre de choisir. Pour qu’il soit efficient, les équipes devront donc définir la façon dont elles souhaitent travailler ensemble pour partager des moments en présentiel. « Il est important de définir clairement les tâches qui sont faites à la maison et au bureau pour trouver un bon équilibre ». L’accompagnement du management dans cette démarche est crucial pour garder l’engagement des équipes.

Julien Balistreri

Julien Balistreri

Un déménagement à l’horizon 2024

Ce mode de travail hybride nécessite également de redéfinir l’utilisation du lieu de travail et son espace organisationnel. En 2024, Ethias déménagera dans le futur quartier Rives Ardentes, écoquartier actuellement en construction à Liège. Ce nouveau bâtiment éco-responsable permettra à la fois de revoir l’organisation spatiale du travail tout en réduisant les émissions carbones de l’entreprise.

« Nous aurons moins de bureaux individuels et davantage de lieux de rencontre. L’idée c’est que quand on vient au bureau, ce n’est pas pour rester seul derrière son ordinateur mais pour booster la créativité, brainstormer et partager avec les collègues. » précise Julien Balistreri. Un processus de transformation auquel Ethias associe ses collaborateurs. Le choix du futur bâtiment s’est d’ailleurs basé sur leurs avis. Pour le Chief People & Organization Officer, ils sont partie prenante du projet : « L’aménagement de l’espace doit être pertinent en fonction de leurs réalités. » L’environnement sera agile mais chaque collaborateur préservera tout de même un point d’ancrage fixe, comme un bureau partagé pour lui assurer un confort lors de sa venue au bureau. Les NWOW doivent véritablement être au service du collaborateur et de son confort et non provoquer un stress supplémentaire.

Ethias Rives Ardentes Namur

 

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