Delaware : les visages de la transformation numérique

Actifs depuis quelques mois dans la société de consultance technologique delaware, Sophie Kreins et Dany Radu sont les preuves souriantes que l’informatique n’est pas un secteur froid réservé aux ‘geeks’. Ils parlent avec passion de métiers riches en contacts humains et en opportunités de développement.


Le commun des mortels a souvent du mal à comprendre la
finalité de certains métiers dans l’IT. Que fait un analyste
fonctionnel ?


Sophie: pour ma part, j’aide des entreprises à retirer le meilleur
des outils numériques, en l’occurrence les fonctions de
gestion du logiciel Microsoft Dynamics 365. Il s’agit par exemple
de faciliter la gestion des achats auprès de différents
fournisseurs, de limiter la charge administrative. Pour cela, je
conseille le client dans la configuration du logiciel et je l’accompagne
en donnant des formations.

Dany: ma fonction est semblable à celle de Sophie, si ce n’est
que je me spécialise dans le logiciel de gestion SAP, en particulier
dans les fonctions de maintenance industrielle. Je travaille
pour l’instant dans une grosse entreprise d’utilité publique.
Je veille à ce que les raccordements de gaz et d’électricité se
passent au mieux pour les consommateurs.

Il faut être un petit génie de l’informatique ?

Sophie: pas du tout (sourit). Et heureusement, car je n’ai pas
d’affinité avec la programmation. Par contre, il faut s’intéresser
au monde digital et bien comprendre ce que cela peut
améliorer dans les entreprises. On apprend énormément.

Dany: nous avons la chance de baigner dans un monde
d’innovation où on acquiert assez rapidement une expertise
unique par des formations, mais aussi et surtout au contact de
nos collègues plus expérimentés.

Qu’est-ce qui vous plaît dans vos métiers ?

Dany: il n’y a jamais de monotonie. Et un véritable esprit
d’équipe, chez le client comme entre consultants de delaware.

Sophie: la diversité, ainsi que le sentiment de faire la différence
chez nos clients. J’apprécie aussi beaucoup le mélange entre
technologie et business. Et puis je passe fréquemment du
français à l’anglais ou au néerlandais. J’adore !

Comment s’organisent vos journées ?

Sophie: généralement, je commence par un briefing sur les
demandes prioritaires du client ou je peaufine les formations
que je donne. Pour l’instant, je suis un jour par semaine dans
une grande PME de Nivelles et un autre jour dans une entreprise
à Bruxelles. Je vais au moins une fois par semaine au
bureau de delaware à Gand.
Pour le reste, je fais pas mal de télétravail. Il y a une grande
flexibilité dans l’entreprise et une certaine confiance, y compris
vers les nouveaux. Ce sont les résultats qui comptent.

Dany: je suis quatre jours par semaine à Liège. Je pars très tôt
de Bruxelles pour éviter le trafic. J’arrive avant 8h sur place.
Cela me permet de pouvoir faire du sport quand je rentre en
soirée et de garder un bel équilibre entre vie professionnelle
et vie privée.

Recommanderiez-vous delaware à vos proches ?

Dany: certainement car c’est une entreprise où on peut progresser
très vite dans un climat de respect. Personne n’est un
numéro ici et le management est très accessible. Et puis, c’est
une entreprise où l’on sait s’amuser, lors de ‘team buildings’
mais aussi lors d’événements improvisés.

Sophie: oui car c’est une entreprise, à la fois belge et internationale,
où chacun peut évoluer à son rythme. Je suis déjà
allé à l’étranger plusieurs fois. Et puis, c’est gratifiant de savoir
que nous arrivons au moment où l’entreprise, historiquement
plutôt présente en Flandre, est en plein développement sur le
marché belge francophone.

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