Envie d’apprendre et de prendre part à la transition énergétique? Sibelga recrute
Le gestionnaire des réseaux bruxellois est à la recherche de techniciens… motivés à booster leurs connaissances. Que ce soit sur l’usage de nouvelles technologies ou pour rendre l’énergie plus verte, Sibelga est en perpétuelle remise en question. Et ça plait aux employés.
Sibelga, c’est le gestionnaire des réseaux de distribution d’électricité et de gaz naturel pour les 19 communes de la Région de Bruxelles-Capitale. Comme la plupart des entreprises qui travaillent dans l’énergie, leur avenir est pavé de défis. Le mot d’ordre? La transition énergétique. L’approvisionnement en énergie doit se décarboner mais cela demande de nombreuses adaptations. Et pour y répondre, cette intercommunale est à la recherche de nombreux techniciens, ce qui relève également du défi. En effet, les profils recherchés sont très prisés sur le marché du travail.
Ce qui est apprécié chez Sibelga? L’envie d’apprendre. L’entreprise évolue et s’adapte pour se diriger vers une énergie plus verte. Par exemple, un des nouveaux projets consiste à développer des bornes de recharge pour voitures électriques sur des pylônes déjà existants. Les employés doivent donc également être prêts à se former constamment et à voir leur métier changer. Bien sûr, des anciens équipements sont encore présents sur le réseau. En parallèle aux postes modernes, il faut donc aussi être capable et avoir envie d’entretenir les plus anciens qui ne seront pas remplacés avant plusieurs années.
Une responsabilité envers le public bruxellois
Si la formation est tellement importante, c’est parce que Sibelga a une responsabilité vis-à-vis de tous les Bruxellois. L’éclairage public communal, le chauffage au gaz des habitants ou encore la circulation des trams sont indispensables. Pas de droit à l’erreur sinon ça a de lourdes conséquences comme le rappelle Dirk Willems, responsable des postes fourniture: «Par exemple, les équipes qui se trouvent dans les postes à haute tension, on ne les voit pas, on ne les entend pas mais si elles se trompent d’un petit paramètre lors de la programmation sur un ordinateur, on risque de perdre tout le poste à haute tension. Ça peut avoir des conséquences sur toute une commune.» Christophe Van Grieken, technicien, parle même de responsabilité économique: «Si je fais une erreur, je sais que je peux mettre 1.000 à 3.000 personnes au chômage pour quelques heures» explique-t-il.
C’est tout le défi du territoire bruxellois. En effet, parmi ses clients, Sibelga compte principalement des entreprises ou des institutions importantes qui ne peuvent pas se permettre de subir une panne. La réactivité est donc la clé. Le réseau bruxellois est également spécifique en termes de surface : de nombreux consommateurs sur une superficie très réduite et uniquement urbaine.
Une carrière variée et progressive, c’est possible
En pratique, Sibelga emploie un millier de personnes et est divisée en 30 services. L’intercommunale prend soin de son personnel en mettant à disposition différentes infrastructures comme des terrains de sport mais aussi en assurant une certaine mobilité au sein de l’entreprise. C’est ce qu’a vécu Christophe Van Grieken, technicien depuis plus de 20 ans chez Sibelga. Arrivé à 19 ans sans diplôme universitaire, il a élargi ses connaissances grâce aux nombreuses formations internes et a pu évoluer dans son métier. «Au bout de 10 ans, j’avais fait le tour des fonctions de mon service. J’ai demandé à apprendre autre chose et mon responsable a dit oui. On m’a proposé d’autres départements. Ça a été un gros changement». Et pour ce nouveau service, il a fallu repartir de zéro et se former à nouveau. Mais c’est justement la découverte qui l’a motivé. Découverte que Christophe retrouve également au contact de nouveaux outils technologiques. Sibelga a choisi d’investir dans la modernisation de son réseau et de ses moyens ce qui nécessite de nouveaux savoirs et crée de nouvelles fonctions. Christophe Van Grieken l’assure, après 20 ans, il apprend encore chaque jour de nouvelles choses.