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Notre package mobilité est clairement un atout pour attirer de nouveaux collaborateurs

Rédigé par: Laurence Briquet
Date de publication: 13 sept. 2021

Engie, borne électrique

Avec l’objectif d’être une entreprise « zéro carbone » d’ici 2045, Engie, acteur mondial de l’énergie, a fait de la mobilité un des piliers de sa stratégie. Depuis 10 ans, l’entreprise ne cesse d’innover en la matière, au point que son package mobilité est devenu   un atout pour attirer de nouveaux collaborateurs… 

La mobilité n’est pas une préoccupation récente chez Engie, un acteur mondial du secteur de l’énergie. « Il y a déjà 10 ans que la politique environnementale est au cœur de la stratégie de l’entreprise », explique Jean-Louis Samson, directeur immobilier et logistique. « A l’époque, notre première préoccupation a été de regrouper nos immeubles à proximité des gares, de réduire nos surfaces et nos consommations énergétiques pour faire baisser notre empreinte carbone. En 10 ans, nous avons divisé par deux nos surfaces immobilières et réduit de 7 0 % la consommation énergétique dans les bâtiments. »

Engie, Jean-Louis Samson [square]

Jean-Louis Samson, directeur immobilier et logistique

REPENSER LA MOBILITÉ

En 2011, les premières questions de mobilité se posent au sein de l’entreprise, au départ d’un problème tout simple : le manque de places de parking pour le personnel. « C’était l’occasion de repenser la mobilité et de donner au personnel un budget en vue de repenser sa façon de travailler, notamment avec le plan cafétéria (NDLR : qui permet d’offrir aux employés un package salarial flexible). Cela a permis à certains travailleurs de gagner entre une demi-heure et une heure de trajets par jour et ça contribue, pour Engie, à son attractivité », poursuit-il.

Après tous ces efforts, comment faire encore mieux dans les prochaines années ? « De nouveaux modes de travail sont arrivés. On est davantage sur des espaces flexibles et sur un environnement de travail qui n’est plus basé sur l’individu mais qui est ouvert à tous, basé sur les activités. On est à environ 6 postes de travail pour 10 travailleurs », note Jean-Louis Samson. Prochaine étape ? Engie réfléchit à du ‘’coliving’’ qui permettrait que des espaces occupés en journée puissent aussi être occupés la nuit.

Bruno Defrasnes

Bruno Defrasnes, en charge des solutions de mobilité électrique chez Engie

ENVIRONNEMENT PERFORMANT

Le personnel, de son côté, adhère à la philosophie de l’entreprise. « Quand on présente notre package mobilité et notre flexibilité au travail, on voit clairement que ça représente un attrait pour de nouveaux collaborateurs. Si on veut attirer de nouveaux talents, on doit leur proposer un environnement de travail performant », précise Bruno Defrasnes, en charge des solutions de mobilité électrique chez Engie.

Sa « greenification », Engie la poursuit aussi auprès de ses clients. « Nous les stimulons à aller vers la mobilité full électrique et je dois dire que le marché joue en notre faveur », ajoute Bruno Defrasnes. Les ventes de véhicules électriques ne cessent de grimper. A partir de 2026, seuls les véhicules de société électriques pourront bénéficier d'un avantage fiscal et « en Belgique, plus de 50% des véhicules neufs sont des véhicules de société ». De plus dans l’intervalle, la taxe CO2 augmentant, cela accroît les coûts de leasing pour les sociétés. Parallèlement à ça, le client a un foule de questions sur le véhicule électrique : sur le chargement, l’autonomie, les bornes de rechargement… Pour aider ses clients à faire le pas vers le véhicule électrique, Engie propose une solution complète (*) allant de l’installation de bornes de recharges, des cartes de rechargement d’électricité aux contrats d’énergie totalement adaptés au véhicule électrique et même des voitures en leasing. En 6 mois, nous avons déjà vendu 3.000 bornes de chargement, contre 2.000 l’année précédente ».

Et la crise sanitaire dans tout cela ? Elle a été un accélérateur. « Il y a clairement des nouvelles manières de travailler et la crise a accéléré les tendances qu’on avait identifiées précédemment. Elle a été le catalyseur de toutes ces initiatives qui, sans cette crise, auraient mis plus de temps à éclore », conclut Jean-Louis Samson.

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