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Safran Aero Boosters recrute des super-talents

Date de publication: 25 oct. 2016

Safran Aero Boosters emploie 1450 personnes dont 40 % d’ingénieurs et de techniciens et 40 % d’ouvriers. Que ce soit pour les ateliers, pour les bureaux d’engineering ou pour les fonctions supports, l’entreprise est toujours à la recherche de profils techniques dotés de qualités humaines et comportementales de bon niveau.

Ces dernières années, Safran Aero Boosters a embauché entre 100 et 150 personnes par an. L’entreprise est également ouverte aux stagiaires et à l’enseignement en alternance. Partenaire des plus grands motoristes aéronautiques mondiaux, Safran Aero Boosters conçoit, développe et produit des compresseurs basse pression, des équipements et des bancs d’essais pour la propulsions aérospatiale. La société équipe la plupart des moteurs de l’aviation civile ainsi que le lanceur Ariane. Grâce à son potentiel très élevé en recherche et technologies et ses équipes de haut niveau, l’entreprise est aujourd’hui capable de proposer des systèmes complets dès le stade d’avant projet et de la conception.

Pour relever des défis qui s’annoncent toujours plus ambitieux mais toujours plus passionnants, l’entreprise mise avant tout sur les hommes et les femmes qui constituent le moteur de cette dynamique.

Questions à Yves Prete, Administrateur délégué Directeur général de Safran Aero Boosters :

Qu’avez-vous fait comme études ?

J’ai fait des études d’ingénieur civil électromécanicien à l’ULB. Même si j’étais attiré par les études de philo et lettres, j’ai opté vers les études d’ingénieur non seulement parce que j’aimais beaucoup les mathématiques mais aussi pour me préparer un avenir plus sûr.​

Quelles étaient vos attentes et espoirs au sortir de vos études ?

J’avoue que je n’avais pas une idée précise de ce que je voulais faire. Après une expérience très courte de 6 mois, j’ai été engagé par la division Moteurs de la Fabrique Nationale de Herstal qui est à l’origine de Safran Aero Boosters et j’y suis toujours après avoir occupé de nombreux postes.

Quel a été votre premier Job ?

Alors que j’étais tout jeune, j’étais chargé du diagnostic du comportement des moteurs équipant les chasseurs F16 qui étaient testés sur les bancs d’essais de l’entreprise. C’était une responsabilité importante et heureusement j’étais épaulé par un ingénieur plus expérimenté. J’ai ensuite occupé différentes fonctions dans l’entreprise, puis au sein de Safran qui m’ont conduit en Chine et à Paris avant de revenir pour prendre la direction de l’entreprise.

Vous souvenez-vous de votre premier salaire ?

45 000 FB brut. C’était en 1979…

Quels ont été les facteurs déterminants qui vous ont permis d’être engagé ?

Au départ, c’est bien sûr le diplôme qui a été déterminant. Mais au-delà, ma passion pour le rugby et le jazz ont vraiment éveillé l’attention des directeurs qui m’avaient interviewé. La personnalité joue beaucoup dans le recrutement.

Quels conseils donneriez-vous aux jeunes qui se lancent dans la vie active (sur le marché de l’emploi) ?

Il faut selon moi d’abord considérer le travail comme un plaisir, comme une façon de s’épanouir et de se réaliser. Je conseillerais également de ne pas faire de plan de carrière mais de rester curieux, ouvert et prêt à saisir les opportunités qui peuvent se présenter. C’est personnellement comme cela que s’est déroulé mon propre parcours. En conclusion, je dirais que chacun doit bien avoir conscience que l’avenir est entre ses mains.

Vous souhaitez rejoindre un leader mondial en aérospatiale ?

Prenez votre envol !

www.superaero.be